En ce moment, les montres connectées font parler d’elles… Parce qu’elles deviennent de plus en plus belles. Dans notre article sur la Withings Activité, nous mettions en parallèle cette montre à aiguilles et les autres modèles. Cette fois-ci, le wearable computing nous étonne avec la première montre qui projette l’heure et vos notifications… sur votre poignet. Sus aux bracelets geeks à écran géant : l’écran, c’est vous ! 

Ritot : qu’est ce que c’est ?

Ritot est issue d’une technologie de projection LED innovante. Elle fonctionne de jour comme de nuit, 24h/24, et affiche l’heure sur votre poignet quand vous le décidez ! Il y a deux manières d’activer la projection : soit en appuyant sur un bouton, soit en secouant la main. L’émission lumineuse disparait automatiquement en dix secondes.

Ritot : à quoi ça sert ?

Ce qui fait la principale force de Ritot, c’est son mode d’affichage associé à un design très stylé. A la rédac’, on la voit très bien à notre poignet en soirée. L’affichage numérique de cette montre est clair et lisible. Vous pourrez l’emmener partout, dans toutes vos activités, puisque Ritot est étanche !

Mais sa puissance ne réside pas seulement dans ses capacités physiques… Elle est aussi intelligente ! En effet, elle se connecte à votre téléphone et reçoit ses notifications, appels entrants, messages, rappels, etc. (Ça doit vous rappeler l’article sur le couple Galaxy Note/Gear de Samsung.) Bon, à voir si on a envie de partager ses messages privés avec tous les gens autour de nous !

Informations pratiques

• Vous pouvez choisir un mode d’affichage 12h ou 24h.
• Ritot est absolument sans danger pour votre peau et votre santé.
• Cette montre est fabriquée à partir de composants techniques et matériaux haute-qualité.
• Ritot a un design mixte et sera disponible en une dizaine de coloris.
• La montre est vendue avec un chargeur sans fil.
• Vous pouvez changer la couleur de l’affichage en un clic.

La start-up californienne cofondée par Ivan Powell et Andrew Larsen a lancé un appel à dons sur la plateforme Indiegogo. Elle a récolté plus de 300 000 $ au lieu des 50 000 $ espérés et peut donc lancer une production en masse. Il faudra attendre l’année prochaine pour acquérir la montre, au prix d’environ 89 euros. 

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Thalmic Labs, une start-up canadienne, a développé un brassard intelligent capable de capter, analyser et interpréter les courants électriques qui accompagnent l’activité musculaire. Il vous offre ainsi la possibilité de contrôler de nombreux devices d’un simple geste. Mamma Myo… Analysons tout ça.

Myo Armband : qu’est ce que c’est ?

Myo Armband promet de secouer le marché du wearable computing… A la différence de ses concurrents, ce brassard peut contrôler des appareils (ordinateurs, consoles de jeux vidéo, tablettes tactiles) sans que l’utilisateur ne soit forcément en face. Et les périphériques n’ont pas besoin d’être équipés de leurs propres dispositifs de contrôle gestuel. Non, Myo est équipé de capteurs qui le rendent totalement mobile. On le porte à l’avant-bras, et comme le dit l’anglais, « One size fits all » : c’est une taille unique.

A quoi ça sert ?

Votre Myo au bras, vous prenez le contrôle de l’interface des systèmes d’exploitation de nombreux appareils électroniques, robots, drones… Concrètement, si vous voulez mettre la musique plus fort à distance, revenir en arrière dans un cours de cuisine en ligne alors que vous avez les mains prises… Myo est là pour vous ! C’est futuriste, c’est précis : on adore !

Avis aux développeurs, Thalmic Labs a également lancé une interface de programmation pour explorer les possibilités qu’offre cette nouvelle technologie et participer à la création d’applications innovantes.

Comment ça marche ?

Myo est équipé de 8 capteurs électro-sensitifs et d’un accéléromètre 9 axes qui enregistrent et interprètent les types de mouvements réalisés par l’avant-bras ou la main : contractions musculaires, rotations, flexions, extensions… Le capteur détecte les signaux électriques produits par vos muscles, ce qui lui permet d’anticiper vos mouvements avant même que vous n’ayez bougé !

Installez d’abord le driver sur les terminaux souhaités : ordinateurs, tablettes, smartphones. Myo est compatible avec Mac OS X, Windows, iOS et Android. La reconnaissance sera ensuite automatique.

Après, vous n’avez qu’à allumer le capteur grâce à l’unique bouton ON/OFF. C’est officiel : vous avez le pouvoir de contrôler tous les appareils

Informations pratiques

• Myo est fonctionnel jusqu’à 100m de distance
• Il dispose d’une batterie rechargeable lithium-Ion qui lui donne une autonomie de 48h
• Le contrôle des périphériques se fait par Bluetooth 4.0
• Côté design, le brassard existe en noir ou en gris, et pour ce qui est des matériaux, l’acier inoxydable a remplacé le cuivre des anciens modèles
• Myo vous coûtera environ 109€

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Certains sextoys connectés permettent à ces dames d’atteindre l’orgasme, par le contrôle à distance de leurs partenaires… C’est le credo que nous formulions dans notre article sur Vibease, et qui semble tout droit inspiré des BD et film Le déclic. Le BlueMotion est conçu sur ce principe. On vous propose de découvrir tout de suite cette culotte qui n’a vraiment rien d’un basique. 

BlueMotion : qu’est ce que c’est ?

BlueMotion est le 1er sextoy s’inscrivant dans le wearable computing, tout simplement parce qu’on le porte… dans les sous-vêtements ! La culotte est même livrée avec, c’est pour dire. Il a été conçu par OhMiBod, une société spécialisée dans les accessoires coquins et sextoys haut de gamme. Celle-ci l’a dévoilé à l’occasion du CES 2014 de Las Vegas, provoquant ainsi moultes réactions.

BlueMotion : à qui ça s’adresse ?

BlueMotion est destiné aux femmes… et aux hommes, qui peuvent le contrôler. Il peut être une douce arme contre les relations à distance qui impliquent une perte d’intimité au sein d’un couple. La fondatrice d’OhMiBod, Suki Dunham, déclare d’ailleurs : « Le BlueMotion brise ces barrières virtuelles en encourageant les couples à interagir physiquement et émotionnellement ». La masturbation n’est plus solitaire, et se pratique même à distance !

BlueMotion: au niveau connecté, ça donne quoi ?

Une fois placé dans une petite culotte, ce vibromasseur ergonomique est prêt à entrer en action. Il est connecté en Bluetooth 4.0 et est contrôlable à distance grâce à l’application dédiée : OhMiBod Remote. L’appli fait office de télécommande, compatible avec iOS et Android. Elle permet de contrôler l’intensité, la durée, le mode de vibrations selon 5 catégories : Rythm, Wave, Tap, Touch et Voice. Ces scénarios peuvent être personnalisés par l’utilisatrice ou le/la partenaire. Vous avez également la possibilité de personnaliser les vibrations par rapport à une musique ou un son : le BlueMotion vibre alors en rythme.

Informations pratiques

• BlueMotion est fabriqué en silicone hypoallergénique.
• Il intègre un accéléromètre 3 axes.
• Ce sextoy comprend une batterie rechargeable.
• Il est livré avec une culotte spécialement conçue pour l’accueillir… Mais il n’est pas exclu de l’utiliser avec ses autres dessous!
• OhMiBod coûte 70€ sur Amazon via le fabricant officiel.

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Les montres et bracelets connectés de plus en plus nombreux sur le marché du wearable computing… Il y a de quoi s’y perdre, et ça, Samsung l’a bien compris ! Après avoir présenté, en février, trois nouveaux modèles de la gamme Gear au Mobile World Congress de Barcelone, la société a décidé de publier une infographie comparative.

Cette infographie a pour but de mettre en lumière les différentes fonctionnalités que possèdent chacun des appareils, afin que les consommateurs puissent choisir celui qui correspond le mieux à leurs besoins. 

Elle révèle, de manière épurée, un grand nombre d’informations utiles : le poids et les dimensions, le design et la composition, le type d’écran, les couleurs disponibles pour le bracelet, l’autonomie en fonction de la batterie, le contrôle de la musique (Bluetooth ou lecteur), la résistance à l’eau et à la poussière, la gestion des communications.

L’infographie regroupe enfin les fonctionnalités communes aux trois Gear : alarme, podomètre, moniteur de sommeil et de rythme cardiaque, fonction pour retrouver son smartphone, entre autres. On apprend aussi que le Gear Fit ne dispose pas d’outils de reconnaissance et d’enregistrement vocaux, ni de la watchON Remote.

A la rédac’, nous trouvons que cette initiative est fort appréciable de la part de Samsung. La société sud-coréenne se met à la place des consommateurs, pour lesquels un tel choix de smartwatchs ne peut être que synonyme de confusion. Elle instaure une proximité avec eux en proposant une vue d’ensemble des produits qu’elle fabrique. C’est une démarche innovante de la part d’une entreprise comme Samsung, d’autant plus qu’elle répertorie des caractéristiques qu’il serait bien fastidieux de lire dans les descriptions techniques des Gear. Well done !

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Les objets connectés sont de plus en plus nombreux et touchent de multiples domaines. Ce qui leur manquait ? Des magasins physiques. Mais ce n’est plus le cas ! Lick est le premier concept store à leur être dédié, et la chaîne prévoit d’ouvrir 17 points de vente avant la fin de l’été. 

Mais pourquoi des boutiques Lick ?

Le marché de niche des objets connectés est encore balbutiant : les consommateurs sont dubitatifs sur la réelle utilité de ce qu’ils considèrent comme des gadgets, certains sont même inquiets de leur potentiel impact sur la santé. Mais la courbe des ventes commence à décoller et devrait monter en flèche jusqu’en 2020. D’après les études de marché de Gartner ou encore de l’Idate, le nombre d’objets connectés s’élèvera alors à 80 milliards, soit 6,5 objets par personne ! La naissance du distributeur Lick semble donc justifiée.

Lick : le début d’une épopée connectée

Stéphane Bohbot, PDG d’Innov8, a racheté 17 anciens magasins Phone House. Les enseignes Lick seront principalement implantées en centre commercial dans la région parisienne (Défense, Rosny 2, Carré Sénart, Forum des Halles) et en province (Grenoble, Montpellier, Rennes etc).  Le groupe compte ouvrir 60 à 80 boutiques en France d’ici 3 ans, avec 20 millions d’euros d’investissement. On pourra trouver trois types de magasins: 100-150 m², 60-90 m² et 30-60 m².

Lick veut devenir la référence multimédia et high tech en passant en revue tous les domaines : santé connectée, domotique, wearable devices, loisirs intelligents…

Lick : une nouvelle expérience digitale en magasin

Lick vise les 15-35 ans ultra-connectés. Cela se traduit par un look très jeune et branché. Mais c’est avant tout un concept store qui souhaite faire vivre aux amoureux du connecté une expérience d’achat unique, en ligne comme en magasin. Les consommateurs pourront devenir membre d’une communauté animée par des vendeurs-Community Managers. Pour chaque nouveau membre, ces derniers seront récompensés. Les consommateurs bénéficieront quant à eux de conseils et pourront voter pour les produits qu’ils souhaitent voir en rayons le mois suivant. Tout le monde est gagnant !

«Nous voulons offrir une nouvelle expérience pour les produits numériques en créant un concept de magasins dédiés aux objets connectés» (Stéphane Bohbot)

Lick offre ainsi une expérience digitale et web-to-store inédite, ce qui n’est pas sans nous déplaire. A voir si les simples badauds seront séduits par les objets présentés ou s’ils repartiront les mains vides… Mais cela peut donner des idées de beaux cadeaux, qui changeraient de ceux de La chaise longue

Lick : une affaire à suivre

Lick a de nombreux mérites : tout d’abord, il sauve les emplois de nombreux ex-employés de Phone House, en cessation d’activité. En plus, il offre de bonnes perspectives à des sociétés innovantes sur le marché des objets connectés comme Parrot, Holî ou encore Withings. Mais surtout : il  nous profite à nous ! Inscrivez-vous sur le site pour être au courant des dernières actus en avant-première.

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Quelles sont les dernières nouveautés concernant les montres connectées ? En un coup d’oeil, passez en revue nos derniers tweets sur cette thématique, ainsi que ce qui s’est dit sur d’autres comptes ! Et pour ne rater aucune actualité, vous pouvez passer directement par notre compte Twitter  .

La Galaxy Gear, une extension de votre smartphone Samsung au poignet http://t.co/zG5ohhrRXJ

— TuttiQuanti (@TuttiQuantiCo) 21 Mars 2014

BREAKING : @bouyguestelecom annonce le combo LG G3 + G Watch dès juillet 2014 et la Moto 360 en septembre 2014 ! pic.twitter.com/Ujl7Fu7l6A

— Samy Toupet (@SamyToupet) 16 Juin 2014

A noter : la Gear 3 devrait former un nouveau duo avec le prochain Galaxy Note 4. http://t.co/JSP7YMERKa #Samsung

— TuttiQuanti (@TuttiQuantiCo) 18 Juin 2014

La smartwatch idéale imaginée par @Wired #Smartwatch #Iwatch #Tracker http://t.co/bst0L3umP7

— Arnaud Parise (@ArnaudParise) 18 Juin 2014

Que pensez-vous de l’alliance #GalaxyNote / #Gear de #Samsung ? Nous avons trouvé 6 bonnes raisons d’y céder ! http://t.co/81UBfmD5PE

— TuttiQuanti (@TuttiQuantiCo) 14 Juin 2014

Global #smartwatch market has grown tenfold from 0.3m shipments in 2012 to 3m in 2013 #MegaTrend pic.twitter.com/lVdzMnhMO3

— Wearable Tech Life (@WearableTchLife) 14 Juin 2014

Truesmart d’Omate – La montre connectée à succès capable de remplacer votre smartphone http://t.co/3o4uvHf9vi

— TuttiQuanti (@TuttiQuantiCo) 13 Juin 2014

On vous prépare une belle surprise ! #beacon #MontreConnectée pic.twitter.com/dzNT9ODZ7L

— bealder (@bealder) 19 Juin 2014

Le grand comparatif des montres connectées – c’est là : http://t.co/mHXbvwxL7B via @tuttiquantico

— Guilhem Bertholet (@guilhem) 9 Avril 2014

L’Iwatch sortira cet automne ! #Apple #iwatch #montreconnectée http://t.co/58EKR2joyK

— Max Cuila (@MaxCuila) 17 Juin 2014

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Pour les fans de Fitbit, leader sur le marché des bracelets connectés, les rumeurs vont bon train. Mais à quoi est due cette ébullition ? La société souhaiterait lancer un nouvel objet de quantified self pour rebondir sur l’échec du Fitbit Force Son nom ? Nul ne le connait. Entre ragots et démentis, la rédaction de TuttiQuanti a décidé de partir en quête d’indices et de rassembler les preuves dénichées sur le web. 

L’affaire Fitbit Force

Avons-nous besoin de rappeler le drame qu’a vécu la société californienne en février 2014 ? Le Fitbit Force a provoqué des réactions allergiques chez ses utilisateurs. Les conséquences ont été lourdes pour l’entreprise : plainte collective, rapatriement des bracelets, arrêt de la commercialisation, remboursements… Et surtout, une image de marque ternie. Fitbit se devait de réagir en urgence à cette crise, à l’heure où les bracelets connectés sont de plus en plus nombreux dans le secteur des wearable computing. 

Un nouveau bracelet qui s’appellerait Proton ?

Le mystère plane sur ce prochain gadget : à commencer par sa date de lancement, annoncée pour 2014, mais qui pourrait arriver plus vite que prévu. Attendez, il y a mieux encore : d’après Fitbit, il ne s’agirait que d’une déclinaison du Force (pas allergique, cette fois-ci ;)). Mais le nom mystérieux de « concept P » a fait surface dans le code source du tableau de bord de Fitbit, et pourrait désigner celui du prochain bracelet… : Fitbit Proton.

Prix et fonctionnalités présagés

Premier constat : l’apparence du Proton (voir photo ci-dessous, diffusée par evleaks) est très proche de celle du Force. D’après les informations recueillies, il comporterait un écran LCD, un altimètre, des fonctionnalités déjà connues chez d’autres modèles (le calcul du nombre de pas /distance parcourue / calories dépensées / escaliers montés, le suivi du sommeil avec alarme silencieuse) mais également de nouvelles : l’affichage du numéro entrant en temps réel via Bluetooth et une compatibilité sous iOs et Android avec plus de 44 smartphones et tablettes. 

Le prix du Fitbit Proton serait de 130€.

Image volée du prototype     « concept P »

Source photos 

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On l’a constaté : les objets connectés dédiés à la santé de bébé remportent un franc succès. Il y a quelques semaines, nous découvrions ensemble le Pacifi, la toute première tétiné connectée. Aujourd’hui, la rédac’ tient à vous présenter Monbaby, un moniteur de sommeil présenté par Mondevices via la plateforme Kickstarter. 

Monbaby, qu’est-ce que c’est ?

Monbaby est un capteur connecté qui permet de suivre et d’analyser le sommeil de l’enfant : ses mouvements, sa posture, son orientation, et même sa respiration ! Il a la forme d’un « bouton » à clipser sur un vêtements. Avant de faire les présentations, regardons de quoi ça a l’air.

Alors oui, on sait, de visu, ce capteur accéléromètre intégré fait surtout penser à la carte-mère implantée sur Nemo dans Matrix :

Ou encore plus flagrant, à l’électro-aimant placé près du cœur d’Iron Man :

Monbaby, comment ça marche ?

Pour le coup, ce gadget connecté ne sort pas d’un film mais possède tout de même des super-pouvoirs : utilisant la technologie Bluetooth Low Energy, il est connecté à une application smartphone (compatible sous iOS) à qui il transmet les données toutes les cinq secondes. Ainsi, vous pouvez surveiller le sommeil de votre bambin avec précision et surtout en temps réel. Plus que recommandé, Monbaby permet d’informer les parents en cas de problème, avec la création d’alertes.

Informations pratiques

Ce moniteur fonctionne par pile et peut tenir jusqu’à cinq semaines en utilisation régulière, un an en mode veille. Il sera proposé au prix de 79$.

 Monbaby est une star !

- Il a gagné un prix durant la « Wearable Technologies Conference » de Munich, dans la catégorie Vêtements.

- Il a fini finaliste lors de la Bluetooth World Wireless Conference de 2012.

- La même année, il a été invité au Consumer Electronics Show (CES) à Las Vegas.

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Créée en 2008, Cityzen Sciences se spécialise dans la conception et le développement de textile intelligent. Imaginez, toute la technologie des bracelets connectés (et plus) intégrée dans un t-shirt !  Il vous sera maintenant possible de suivre votre température corporelle, rythme cardiaque, vitesse, localisation, etc. sur votre smartphone, grâce à des mini-capteurs intégrés au tissu de votre t-shirt D-Shirt Un premier produit grand public signé Cityzen Sciences qui n’a pas manqué de faire parler de lui au dernier CES de Las Vegas.

Cityzen Sciences est le projet pilote d’un programme plus large nommé Smart Sensing et qui a pour vocation de créer les textiles intelligents de demain. Les premières réflexions autour de Smart Sensing ont débuté en 2003 quand Jean-Luc Errant, Président et co-fondateur, s’est posé la question du suivi des activités physiques en conditions extrêmes (telles que la haute montagne ou la haute mer).

Contrairement à de nombreux « concurrents » qui ont choisi d’intégrer cette technologie dans des bracelets connectés, Cityzen Sciences a choisi le textile. Pourquoi ? Parce qu’il ont préféré privilégier l’intégration de la technologie dans quelque-chose que les gens ont déjà sur eux (ce qui est à priori le cas des vêtements, enfin… normalement :D), plutôt que de créer un nouvel objet.

Plus besoin de lancer son Runkeeper ou de mettre un bracelet quand vous partez courir. Tout est intégré dans votre t-shirt. Ca c’est ce qu’on appelle du « wearable » ! Bon certes, on a un problème pour la visualisation des données. Pas facile d’intégrer un écran sur un t-shirt (pour l’instant). Mais pas d’inquiétudes, il vous suffira de télécharger l’application mobile pour visualiser toutes les données récoltées.

Et pour tous les pragmatiques qui se posent déjà la question du lavage, ne vous inquiétez pas : le D-shirt résiste au lavage en machine

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Aujourd’hui, mardi 18 mars 2014, Google annonce le lancement d’Android Wear, un système d’exploitation dédié aux objets connectés. Google parle des technologies « wearables » (tout ce qui se porte sur soi) comme étant une révolution en marche qui aurait pour origine le smartphone (smartphone qui risque de ne plus être si smart que ça face à tous ces wearables intelligents…).

L’avenir ne serait plus dans un ordinateur, ou un téléphone sur-puissant, mais bel et bien dans tout ce qui nous entoure… et dans ce cas précis, dans tout ce qu’on porte.

Premier chantier pour Android Wear : la smart watch ou montre connectée, et il semblerait que LG seront les premiers à sortir une montre bénéficiant de ce nouvel OS (Operating System ou Système d’exploitation). Google reste encore un peu flou, mais on comprend bien qu’avec Android Wear ils cherchent à aller encore plus loin que la promesse faite avec Google Glass. Un système d’exploitation dédié wearables va ouvrir le champs des possibles avec entre autre le développement de nombreuses applications spécifiques !

La puissance d’un smartphone au poignet.

Et si le petit écran d’une montre ne vous permet pas toute la liberté tactile que vous souhaitez, parlez lui. Il semblerait qu’elle puisse répondre spontanément à des questions directes du style : quel temps fait-il, quelle heure est-il, à quelle heure décolle mon avion, où se situe la boulangerie la plus proche… Vous pouvez même lui demander de rédiger puis envoyer un sms, ou de faire une réservation au restaurant pour vous ! Et tout ça, en utilisant la commande vocale : « Go Google » Impatient de voir ce que ça va donner… vraiment !

Faites une petite pause, et regardez comme c’est beau

Les smartwatchs équipées de cet OS pourront aussi proposer des applications de type quantified self comme celles des bracelets connectés. Et cette fois, plus besoin d’utiliser une app sur son smartphone pour voir ses stats. Tout sera disponible sur l’écran de votre montre.

Enfin, ces montres pourront servir d’interface avec d’autres appareils Android. Vous pourrez donc lancer un film ou de la music sur une tablette Android ou votre Google TV, simplement en parlant à votre montre.

Et pour les développeurs qui voudraient se lancer dans l’aventure, Google propose déjà une Developer Preview a télécharger.

Une autre petite vidéo pour finir :

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